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Rentabilité des jeux vidéo : modèles existants et perspectives

Rentabilité des jeux vidéo : modèles existants et perspectives

Rentabiliser un jeu est loin d’être simple pour les éditeurs. Entre obligations commerciales, plaisir des joueurs et équité, l’équilibre est compliqué.

Voici un aperçu des modèles commerciaux qui existent à l’heure actuelle, ainsi que quelques pistes pour améliorer la satisfaction des joueurs tout en maintenant une marge de bénéfice intéressante.

F2P vs premium

Il s’agit de la distinction la plus commune. Un jeu premium est payant. L’éditeur se rémunère donc sur chaque achat. Pour qu’il soit pérenne, ce modèle nécessite un apport constant de nouveaux joueurs.

Un jeu gratuit (F2P ou Free to Play) ne coûte rien au joueur. La rentabilisation se fait après coup, par le biais de publicités ou d’achats in-game.

Ce modèle est parfois critiqué par les joueurs, car il peut gâcher l’expérience de jeu. Par contre, il offre un fort pouvoir de rétention: chaque joueur peut être amené à dépenser de l’argent in-game pendant une période prolongée.

Certains éditeurs comme https://www.ea.com ou Ubisoft ont fait le pari d’un abonnement qui permet d’accéder à tout ou partie de leur catalogue.

Il s’agit d’un modèle hybride où l’on ne paye pas un jeu en particulier. C’est intéressant pour le joueur, mais l’éditeur doit avoir un catalogue conséquent pour que ce modèle soit rentable.

Paiement à la partie: un modèle exclusif choisi par les casinos en ligne

Enfin, les jeux de casino en ligne se payent généralement à la partie. Il est possible de tester certains jeux gratuitement, mais les joueurs doivent approvisionner leur compte pour tenter de gagner des prix en cash.

Ainsi les joueurs qui vont sur casinodays.com/fr-ca peuvent tester gratuitement des machines à sous comme Book of the Dead, Piggy Riches ou What the Fox. En revanche, les jeux en direct comme Speed Roulette ou Blackjack Amsterdam n’ont pas de mode démonstration: il faut régler sa partie pour accéder à la table.

Rentabilisation des jeux gratuits: publicité, achat in-game, contenu additionnel

Le modèle économique des jeux F2P tourne le plus souvent autour de la publicité ou des achats additionnels. Dans le premier cas, le joueur doit regarder une pub avant ou après une partie. L’éditeur est rémunéré au nombre de vues ou de téléchargements.

Les achats additionnels peuvent être cosmétiques (ils n’ont aucune influence sur le déroulement du jeu), comme c’est le cas sur https://www.leagueoflegends.com/ ou bien débloquer du contenu pour évoluer plus vite dans le jeu.

Les microtransactions sont très lucratives pour les éditeurs, mais décriées, car elles transforment rapidement le jeu en P2W (Pay to Win) si elles offrent un avantage sur les autres joueurs.

Enfin, certains titres ont du contenu supplémentaire à la vente. Le problème est que certains éditeurs ne se gênent pas pour proposer un jeu qui n’est pas complet afin de forcer les joueurs à acheter les extensions.

Quelles pistes pour améliorer l’expérience de jeu et la rentabilité?

Organiser des tournois en ligne

À l’heure actuelle, les tournois en ligne comme ceux sont référencés sur https://fr.egamersworld.com/lol/events sont organisés par des entreprises tierces.

On pourrait imaginer qu’un éditeur de jeu de cartes à collectionner mette en place lui-même des évènements payants qui permettraient d’offrir une rémunération au concepteur et aux joueurs avec un investissement minimal.

Procéder à certains placements de produits

C’est une pratique ayant déjà cours sur certains gros titres, mais qui pourrait se généraliser. L’éditeur reçoit une rémunération en l’échange d’un placement de produit virtuel dans l’univers de jeu.

Ce type de revenu n’est toutefois pas fixe et il est difficile à mettre en place sur certains titres. De plus, il peut générer de nombreux abus.

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La rentabilité d’un jeu dépend essentiellement de sa popularité, et ce quel que soit le modèle choisi. Pour rendre l’expérience la plus agréable possible, il faut diversifier les sources de revenus. Autrement, cela engendrera de la frustration de la part du joueur. Celui-ci n’hésitera pas à crier son mécontentement en ligne, ce qui amplifiera la perte de popularité du titre.

Bodello
Bogdan Lashchenko

Bogdan Lashchenko - gestionnaire de contenu à EgamersWorld.Bogdan travaille à EGamersWorld depuis 2023. En rejoignant la société, il a commencé à remplir le site avec des informations, des nouvelles et des événements.

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